La nouvelle fait rage sur la toile : les réservation sont officiellement ouvertes depuis ce samedi 20 octobre 2010.

Pardon ? Vous n’êtes pas au courant ? Et, ne me dîtes pas que vous n’avez pas booké votre agenda pour l’occasion ?!

Si tel n’est pas le cas, je vous supplie de stopper la lecture de cet article ici même.

Oui, c’est une dérogation exceptionnelle. Alors vite, on clique ici !

Vous voilà de retour ? Le formulaire correctement rempli et le mail de confirmation validé ?

D’accord. Donc c’est fait, nous jouons maintenant dans la même cour et nous pouvons discuter, enfin !

Car oui, les Nuits Capitales sont l’événement primordial de ce mois de novembre 2010.

  • 500 artistes,
  • 50 lieus,
  • 5 nuits.

Des concerts, du clubbing, mais aussi des spectacles et des rencontres, sont au programme à travers toute la capitale

Retrouvez un aperçu des soirées proposées en club en cliquant ici.

Le Rex, le Social Club ainsi que le Batofar ne sont qu’un infime exemple des lieux déterminants dans lesquels vous pourrez profiter d’événements d’exception mais aussi, et surtout, de réductions. Je me sens à nouveau l’obligation de vous le rappeler : rien ne sera possible si vous n’avez pas télécharger votre pass, par l’intermédiaire de l’inscription à la Newsletter des Nuits Capitales. Si le début de mon article ne vous avez donc pas convaincus, c’est maintenant ou jamais ! On clique ici !

A consulter aussi, le parcours « hors-circuit » proposé pour l’occasion. C’est le moment de s’essayer aux activités insolites ! Mentions spéciales pour l’autobus-nightclub, le concert sous-terrain à la station de métro Châtelet ou encore l’émission de radio en live du Rex Club.

Et parce que cet événement est à l’initiative des instigateurs de la pétition « Paris, quand la nuit meurt en silence », et que l’on défend bec et ongles cette cause,  c’est l’argument qu’il fallait absolument que je vous donne, pour achever de vous convaincre de participer à ces fameuses Nuits Capitales.

Et pendant qu’on y est, si on se sent l’âme d’un fervent défenseur des nuits parisiennes, on se rend en bas de page du site quandlanuitmeurtensilence.com pour signer la pétition.

On ne va tout de même pas laisser Paris ressembler à une bourgade de province où le moindre décibel en trop devient un incident diplomatique !!