La Nuit Blanche a été un événement particulier pour nous. Tout d’abord parce que nous avons été sélectionné pour être bloggers-reporters officiels pour la Marie de Paris, Les Inrocks et Sosh et parce que nous avons tenté une expérience de live-report. Armé de Samsung Galaxy S2, nous avons parcouru les rues de la capitale pour live-twitter et envoyer des vidéos qui ont été directement diffusées sur la façade de l’Hotel de Ville. Voici donc nos trois coups de coeur de Nuit Blanche 2011…

« Demain le ciel sera rouge« 

Voilà le titre de l’œuvre de Christian Boltanski réalisée en collaboration avec Murielle Bechame et Virginie Colemyn.
Un oracle énumérant des paroles prophétiques ébauchant un futur désastreux sur la condition humaine est situé au dessus du spectateur, regardant la tête levé une femme lui annonçant son destin malheureux. Le public est représenté sur scène par des acteurs portant des masques d’animaux, ceux-ci nous observant fixement ce qui amplifie le malaise ressentit. L’ambiance est telle qu’on est prêt à accepter toutes les paroles citées, tant la mise en scène est parfaite. (Eric)

Purple Rain

Le lieu le plus populaire de la soirée : situé à l’Hôtel d’Albret, cette installation de Pierre Ardouvin plonge le visiteur dans l’univers de la couleur violet, sous une pluie artificielle, avec Prince comme fond sonore, l’imaginaire s’éveille. Située au plein coeur du Marais, la queue était longue, certes, pour 5minutes de plaisir à s’émerveiller, mais ça valait le détour. (Elodie)


Heaven de Miroslaw Balka à Nuit Blanche 2011 -… par pleazleblog


Heaven de Miroslaw Balka à Nuit Blanche 2011 par pleazleblog

« Heaven« 

« Heaven de Miroslaw Balka est une oeuvre poétique jouant sur la lumière et les couleurs. Des bandes de plastique/plexiglasse teinté de camaïeu de couleurs tournent sur eux même et scintillent donnant l’impression d’une véritable pluie de lumière. En s’approchant de plus près, on peut y voir les différentes couleurs (très pleaziennes d’ailleurs). Les différents jeu de lumière constituer par l’oeuvre dans son ensemble et chacune des bandes ont suscité la curiosité de tous les parisiens…